ALY • « Stone age love and strange sounds too, bad nights cause teenage blues. »

**ALWAYS, NO SOMETIMES.** I'll *lie* and you'll *believe*.

MEAGHAN ALEIGH
WELLINGTON

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ALY • « Stone age love and strange sounds too, bad nights cause teenage blues. » Sel1j

16ANS1/2 • BORN TO BE BAD • CHANT&GUITARE • SELENA GOMEZ
(c) Nutella Junkie

« Now I'm lost somewhere
Lost between Elvis and suicide,
Every since the day we died well
I've got nothing left to lose.
After Jesus and Rock'n'Roll,
Couldn't save my immoral soul well
I've got nothing left, I've got nothing left to lose. »

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ÂGE ;

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NÉE LE ;

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NÉE A ;

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MÉTIER/ÉTUDES ;

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COULEUR PRÉFÈRÉE ;

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STATUT ;

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AIME ;

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N'AIME PAS ;

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PHYSIQUE ;

Aly n'est pas très grande - à peine un mètre soixante-dix - c'est pourquoi elle porte souvent des talons. Elle est en revanche très fine, ce qui contraste avec sa gourmandise démesurée. Elle possède un visage de poupée, avec des lèvres fines et un petit nez, ce qui cache bien son côté rebelle. Elle possède de longs cheveux noirs souvent ornés de quelques anglaises - héritage maternel. Ses yeux sont couleurs noisettes et ont y voit souvent briller une étincelle de malice. Côté vestimentaire, c'est une adpete des jeans slim ; qu'ils soient noirs, gris, rouges, bleus, parfaitement repassés au complètement destroy, ils constituent la majeure partie de sa garde-robe. En haut, elle est plutôt simple ; un chemisier ou un tee-shirt, peu importe du moment qu'elle est à l'aise dedans et qu'elle peut mettre son blouson en cuir noir par dessus. Elle adore également les chaussures et en a plus de vingt-cinq pairs. Des bottes en cuir aux derbies, en passant par les escarpins, les Doc Martens, les spartiates ou les Converses, il y en à pour tout les gouts. Elle n'aime pas particulièrement les accessoires, et quand à ses cheveux, ils sont soient lâchés, soient rassemblés en queue-de-cheval.

▬

CARACTÈRE ;

Ceux qui connaissent bien Aly savent qu'elle est plutôt du genre compliquée. Elle est à la fois gentille, assez ouverte et sociale, et qu'il lui arrive de se montrer généreuse. Elle est aussi très à l'écoute et compréhensive. Mais derrière ses airs angéliques, elle est extrêmement possessive, on peut compter l'orgueil parmi ses défauts, et elle est particulièrement méfiante face à l'inconnu. Avec ses amis, elle est franche - à vous de choisir si la franchise est un défaut ou une qualité - et loyale mais ce n'est par contre pas du tout le cas face à ses ennemis. Elle est un peu trop curieuse pour son bien et sait être très chiante quand il le faut. Mais la plupart des gens arrivent à la supporter.

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LES PERSONNAGES DE L'HISTOIRE ;

(MEAGHAN) ALEIGH ~~BRADWELL~~ WELLINGTON

HONORA BRADWELL, LA GRAND MERE PATERNELLE

VALERIA BRADWELL, LA MERE

WILLIAM BRADWELL, LE PERE

SHAYLEEN WELLINGTON, LA MEILLEURE AMIE D'ENFANCE

SIXTEEN DASHWOOD, LA MEILLEURE AMIE, GUITARISTE DU GROUPE

MAËL WILDWORTH, LE CONFIDENT, BASSISTE DU GROUPE

ETHAN MIDDLEWAY, LA RELATION COMPLIQUÉE, BATTEUR DU GROUPE

L'AVOCAT

LES MEDECINS, INFIRMIERS, ETC...

Enfance, de 1964 à 1969 à Londres, Angleterre

12/06/1965, 09h47, Londres. Pong. Pourquoi maman est pas là ? Pong. Et papa ? Qu'est-ce qu'il fait ? Pong. J'en ai marre ! Pong. Mamie elle est pas marrante ! Pong. Et ils veulent pas que j'aille jouer dans le salon ! Pong.
▬ Meaghan Aleigh Bradwell, tu veux bien arrêter de faire rebondir cette... Chose... Sur ton mur ?
La voix de l'aïeul porta jusqu'au premier étage et Aleigh, assise en tailleur par terre dans sa chambre, arrêta la petite balle rouge et noir qu'elle faisait rebondir contre son mur. Ses cheveux noirs et bouclés flottant sur ses épaules, elle soupira. D'accord, avec ses parents, ce n'était toujours drôle mais avec ses grands-parents, c'était vraiment déprimant.
▬ Désolée Grand-Mère, je la range.
Elle se leva et jeta un regard à sa chambre. Elle était grande, avec un grand lit à baldaquin aux rideaux blancs contre le mur de droite et une grande fenêtre style victorien avec des rideaux roses. La chambre de la gamine anglaise de sept ans par excellence. Aly n'aimait pas trop cette chambre, elle la trouvait trop... Vide. La brunette n'aimait pas les jouets comme ses voisines parfaites, au grand désespoir des ses parents et de sa grand-mère, adeptes des bals et autres soirées de galas. Elle, son truc, c'était plutôt de sauter sur son lit ; de se glisser dans la chambre de sa mère pour essayer des chaussures à talons au risque d'être punie pendant une semaine ; de prendre une feuille, de la déchirer, de changer les morceaux de place et d'admirer le résultat ; de faire rebondir sa petite balle rouge et noir contre le mur, et tout plein de trucs de ce genre. Elle rangea la balle en question dans sa boite préférée sur sa table de nuit et se laissa tomber dans les coussins. Ce soir, c'était son anniversaire. Elle avait sept ans. Sept ans, l'âge de raison. Et sa grand-mère avait organisé une fête, et ses parents n'étaient pas là. Et elle devrait porter une horrible robe verte pâle à pois rose pâles et elle devrait attacher ses cheveux en deux nattes serrées qui donnaient mal à la tête. Merveilleuse journée en perspective. Pourquoi est-ce qu'elle ne pouvait pas garder ce jean gris troué de partout que son cousin lui avait prêté la dernière fois qu'il était venu ? Et ce débardeur bleu, tout simple ? Et pourquoi est-ce qu'elle n'avait pas le droit de rester en chaussettes pour pouvoir faire des glissades chaque fois qu'elle passerait dans la cuisine ou dans la salle de bain ? Elle soupira et se dit qu'entre sa mère et sa grand-mère, cela ne changerait pas grand-chose et qu'il fallait qu'elle arrête de sa lamenter sur l'absence de ses parents.

26/03/1968, 23h41, Londres. ▬ Aly ! Pousse toi ! J'vois plus rien !
▬ Hé ! Shay ! Maintenant c'est moi qui peux plus voir !
Les deux petites filles de neuf ans se disputaient depuis dix bonnes minutes à savoir qui allait regarde par le trou de la serrure de la chambre des parents d'Aleigh. Il était plus de vingt-trois heures. Shayleen Wellington, la meilleure amie d'Aly depuis qu'elle étaient toutes petites – ses parents n'étaient pas très riches et elle avait été émerveillée par le manoir des Bradwell la première fois qu'elle y était entrée –, était venue passer le week-end à la maison. Shay était une petite fille blonde aux yeux bleus très pâles, elle était toujours blanche comme une lavabo et on avait tout le temps l'impression qu'on la casserait rien qu'en la touchant tellement elle était maigre. Ses parents avaient pourtant vu plusieurs fois le médecin, sans succès. Les examens révélaient une petite fille en pleine santé. Tout le monde croyait les deux demoiselles dormant dans leur lit. Mais elles essayaient d'entendre la conversation de Monsieur et Madame Bradwell. Elles venaient de trouver un accord – une qui regarde par l'interstice en bas de la porte et l'autre par la serrure – quand la conversation pris un tournant intéressant.
▬ […] n'y peut rien. Chéri, tu es vraiment sur de vouloir l'envoyer chez ta sœur ?
▬ Valeria ! Tu vois bien comment elle est et ce qu'elle risque de devenir ! Elle ne connait aucune danse, aucune formule de politesse digne de ce nom ! Elle n'est pas digne de porter le nom des Bradwell et tant qu'elle ne sera pas digne, je ne l'accepterai pas sous mon toit.
▬ Mais... Elle n'a que neuf ans !
▬ Ma sœur était bien plus éduquée et respectueuse qu'elle de deux ans plus jeune. Et tu as vu qui est-ce qu'elle fréquente ?
▬ William, les Wellington ne sont pas la pire famille de Londres !
▬ Crois-moi, ils ne sont pas non plus la meilleure...
▬ Pourquoi as-tu accepté cette petite ici alors ?
▬ Meaghan à quand même le droit d'être avec son amie pour son dernier jour à Londres.
Aleigh regarda Shayleen les yeux embués de larmes. Shay le savait, qu'Aleigh ne pleurait jamais. Mais ses parents venaient de dire qu'elles n'était pas digne d'être leur fille, qu'elle devait aller vivre ailleurs – chez son horrible tante Maggie, en Ecosse. La blondinette pris son amie par l'épaule et elles retournèrent dans leur chambre. A peine passé le pas de la porte, Aly se jeta dans ses coussins en pleurant tandis que Shay s'assit sur son lit en soufflant, comme si monter les marches lui avait été un effort particulièrement dur et toussa. La brunette ne fit pas attention à ce détail, trop occupée à maudire ses parents et sa tante Maggie.

Adolescence, de 1970 à 1974 à Londres, Angleterre & Los Angeles, USA

19/05/1974, 16h03, Londres. ▬ Maman je te le jures ! J'ai reçu une lettre très importante ! Une de mes amies à du partir aux États-Unis, elle est malade !
▬ Meaghan Aleigh Bradwell, je te pris d'arrêter de me raconter des mensonges ! On ne plaisante pas avec ces choses là. Tu n'iras pas voir d'amis soit-disant malade aux États-Unis !
▬ Et ben tu sais quoi ? Je vais la voir quand même !
▬ Je te signale, très chère, qu'il te faut un accord parental et de l'argent.
▬ Je m'occuperai des papiers là-bas, t'as aucun soucis à te faire, lui rétorqua-t-elle d'un air insolant, quand à l'argent, vous avez beau être ignobles comme parents, vous êtes super côté affaires, j'ai aucun problème la-dessus !
▬ Tu me déçois beaucoup... Ce n'est pas comme ça que ton père et moi t'avons élevée...
▬ Mais vous ne m'avez même pas élevée, Maman ! Vous n'étiez jamais – jamais – là ! Même pour mes sept ans ! Et même quand j'essayais d'être gentille j'étais toujours, selon vous, une fille indigne ! Qu'est-ce que tu veux que je fasses de plus ?! J'en ai marre ! Vous n'aurez plus à vous occuper de moi, je ne serai même plus votre fille ! C'était ce que vous vouliez depuis le début non ?!
▬ Meaghan, je te préviens...
▬ Ta gueule !
Claquement de porte.

24/05/1974, 07h34, Los Angeles. « Faites que je sois pas en retard pitié ! » Aleigh se mit à courir dans les couloirs de l'hôpital. Elle était aux États-Unis, en Californie, à Los Angeles. Sauf qu'elle n'était pas là pour faire du tourisme. C'était déjà pas mal qu'elle ai réussi à déjouer l'autorité parentale ! Arrivée à la chambre 345, elle poussa la porte.
▬ J'ai plus de pouls ! Appelez la réa !
▬ Docteur, même avec la réa... Ça fait dix minutes qu'on y est et avec un cancer aussi avancé... C'est trop tard.
« Plus de pouls. » « Cancer. » « Trop tard. » « Biiiiiiiiiiiip... »
▬ Heure du décès, sept heures trente-quatre.
Les médecins avaient désertés la pièce en dix secondes. Aleigh voyait mais son cerveau ne voulait pas enregistrer ce que ses yeux lui montraient. « Regarde encore ! » Elle était partie de Londres à peine deux semaines plus tôt, c'était juste après une énième soirée chez la brunette, et maintenant elle était morte. « Cancer. » Elle aurait du le voir plus tôt ! C'était pourtant flagrant ! Et maintenant, Aly était toute seule dans la chambre 345 d'un hôpital à Los Angeles qu'elle ne connaissait pas du tout, plantée en face du cadavre de Shayleen Wellington. Elle ne pouvait pas supporter de voir ça ! Elle pressa la main de son amie, chuchota un « Au revoir » à peine audible et sortit en claquant la porte et en retenant ses larmes. Elle trouva une chambre vide. Elle s'assit sur un des lits et remonta ses genoux contre sa poitrine. Shay était sa meilleure amie depuis... Trop longtemps pour qu'on puisse compter. Elle ne pouvait pas être... Partie. Elle ne pouvait pas avoir laissé Aly comme ça, obligée de retourner à Londres avec ses horribles parents et... Non. Aly ne pouvait pas faire ça. Elle ne pouvait pas retourner ni à Londres, ni en Écosse chez Tante Maggie. Il fallait qu'elle trouve une moyen de...
▬ Vous avez un problème ?
Aly sursauta si violemment que la moitié des coussins blancs s'écrasèrent sur le sol. Elle tourna la tête, oubliant ses yeux mouillés et se demanda comment elle n'avait pas vu cette fille en entrant. Elle était à première vue grande – même si on ne pouvait pas trop le déterminé étant donné qu'elle était allongée –, des cheveux blonds foncés. Le genre de fille belle qu'Aly aurait aimé être si elle s'intéressait à la beauté. Ce n'était pas le cas, bien sur.
▬ Oh, désolée je... Pensais que cette chambre était vide.
▬ Pas de problème ! Je m'appelle Sixteen... Enfin, je crois. Pourquoi vous pleurez ?
Aly trouvait ça bizarre de se vouvoyer mais c'était la moindre des politesses. Elle sourit légèrement et essuya ses larmes d'un revers de main.
▬ Moi c'est Aleigh. Enfin, Aly. Je suis censée retourner en Angleterre où mes parents que je détestent m'attendent pour me priver de sorties, d'argents, de tout les trucs biens jusqu'à la fin de mes jours et m'envoyer en pensionnat en Écosse chez ma tante Maggie. Et ma meilleure amie vient de mourir sous mes yeux. Donc voilà, je suis là.

15/07/1974, 15h27, Los Angeles. ▬ Bonjour Mademoiselle, euh...?
▬ Appelez moi Aleigh.
▬ Bien. D'après ma secrétaire vous êtes ici pour une demande d'émancipation ? Que s'est-il passé ?
▬ C'est bien ça Monsieur. Mais, sauf votre respect, les causes ne concernent que moi.
▬ Toutes mes excuses si j'ai été indiscret. Voici les papiers à compléter. Vous avez choisi un nom ?
Aleigh fixa l'avocat en face d'elle puis ferma les yeux et repensa à Shay. Elle savait comment elle voulait s'appeler.
▬ Meaghan Aleigh Wellington.
▬ Parfait, veuillez remplir les cases nécessaires.
La brunette, au bout d'un quart d'heure de signature et de lecture, posa le stylo à sa gauche.
▬ Eh bien, Mademoiselle Wellington, vous pouvez vous en allez tranquille, vos parents ne vous embêterons plus. Et si jamais c'est le cas, appelez-moi !
Aly se leva, attrapa son sac à main et ses dizaines de partitions qu'elle avait posé su le bureau puis fourra la carte que l'homme lui tendait dans le sac. Sur ce, elle sortit de la pièce. Bon, c'était plié. Elle n'aurait jamais du laissé passer autant de temps avant de prendre rendez-vous, finalement ! Elle se mit à courir jusqu'à la salle où elle avait laissé Sixteen, cette dernière n'ayant pas envie d'attendre dans la salle d'attente avec toutes les autres personnes.
▬ SIX ! CA Y EST ! JE L'AI FAIT !! Maintenant je peux... Hé mais, tu joues de la guitare ?
Sixteen était en effet assise en tailleur par terre et elle jouait de la guitare. Au passage, c'était une superbe Fender American Special, une stratocaster Sunburst. Elle ne ressemblait en rien à la Gibson Angus Young SG noire qu'Aly s'était acheté en douce quand elle avait douze ans et qu'elle avait soigneusement rangé dans sa chambre d'hôtel de Los Angeles, mais n'en était pas moins magnifique. Et la blonde jouait extrêmement bien. Aly se demanda comment elle ne s'en était pas rendu compte alors qu'elle étaient amies depuis bientôt deux mois. Mais elle se demande surtout où était son téléphone portable et qu'elle le numéro de l'agent le plus proche. Une idée folle venait de lui traverser l'esprit.
▬ Six ? Tu connais des musiciens qui serait prêts à nous suivre ?

Maintenant, en 1975 à Los Angeles, USA

13/10/1975, 15h27, Los Angeles. ▬ Allez ! Passe-la moi !
Éclats de rire. Le barman qui les regarde d'un air suspicieux. Aly, Six, Ethan et Mael étaient tous les quatre accoudés au comptoir d'un bar à Beverly Hills et la bouteille de vodka alla asperger la nouvelle chanson qu'Aly avait écrite à ses heures perdues en attendant le métro.
▬ Mince Aly, j'suis vraiment désolé !
▬ Oh, c'est pas grave, j'suis bourrée donc t'as jusqu'à demain matin pour trouver une excuse valable.
Nouveaux éclats de rire. La bouteille tombe par terre. Sauf qu'aujourd'hui, Aly n'en à rien à faire. Elle est heureuse, elle fait ce qu'elle veut quand elle le veut, et n'a pas parlé à ses parents depuis plus d'un an ; ils ne sont même plus officiellement ses parents. Bye bye le lycée et les tantes Maggie en Ecosse, la seul chose qui importe à ses yeux désormais, c'est la musique.

Behind The Screen

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